— Qu’est-ce que vous tenez dans les bras ? lança le professeur Peddick en fixant son assistant
d’un œil désapprobateur.
— Je… Je ne sais pas ce qui m’a pris, bafouilla celui-ci en maintenant du mieux possible la masse gesticulante. L’astéroïde…
C’était si violent… Il était là, à côté du cadavre de sa…
— Imbécile ! C’est un petit Tyrannosaurus Rex ! Il devait mourir là-bas ! Vous comptiez en faire quoi ?
Peddick désactiva le champ de force de la machine temporelle. Bien protégée au fond de la grotte, elle n’avait
souffert d’aucune dégradation.
— Laissez-le ici. Il ne survivra pas sans sa mère. Je vous avais pourtant prévenu des fluctuations de Bowman
!
L’étudiant lâcha le saurien à regret, puis grimpa dans la machine.
Le petit tyrannosaure comprit qu’il n’arriverait pas à manger ces deux grosses bêtes quand il les vit disparaître
dans un éclair de lumière. Tant pis, pensa-t-il, en focalisant immédiatement ses sens carnassiers sur un autre rescapé de la catastrophe, un gros rongeur. L’ancêtre commun de tous les
mammifères…
Dans un monde idéal…
Ahah, ton commentaire m’a fait mourir de rire xD
Effectivement, ils devraient vite se rendre compte de leur erreur, ces deux là :p
(Mais comment on fait pour trouver un T-rex mignon ? O_o)
Hé hé, j’ai bien aimé aussi mettre un petit truc en plus dans les coms, faudra que je le refasse 🙂 Et les bébés T-rex sont très mignons, quand ils n’essaient pas de t’arracher le bras 🙂
– C’est un peu différent quand même… déclara l’assitant en constatant qu’à la place de l’entrepôt du time-port se tenait un troupeau de diplodocus. 😉
Ahah, pas mal !! 😀
Excellente fin x)
Par contre… Si jamais ils reviennent dans leur époque, les humains n’auront jamais existés.. Et n’auraient jamais sauvé ce bébé T-rex… Et ils n’auraient jamais pu le déplacer…
Aaaaaah… La beauté des paradoxes spatio-temporels… :p
Merci 🙂 Hé hé, je règle le problème du paradoxe avec la réalité alternée (en causant cette perturbation, Peddick et son assistant ont créé un univers alterné dans lequel ils se sont projetés) Faudra que j’en fasse une nouvelle, un jour 😉