Dès les premières lueurs de l’aube, la petite ville fourmillait d’activité. Les lignes de métro et de tramway étaient sillonnées de robots-transporteurs réguliers et ponctuels. Les voies vertes arborées avec goût par les robots-jardiniers résonnaient du cri des oiseaux. Les fontaines et les canaux entretenus par les robots-assainisseurs brillaient sous le soleil naissant. Les robots-contremaîtres patrouillaient dans la ville afin de vérifier la qualité du travail accompli.
Les boutiques des robots-commerçants attendaient les premiers clients de la journée. Les produits manufacturés avaient été livrés dans la nuit, comme d’habitude, par les robots-coursiers, en provenance directe des usines de production et des fermes agricoles biologiques soigneusement régulées par des robots-fermiers.
Dommage que l’espèce humaine ne puisse en profiter, ayant disparu 300 ans plus tôt.
Dans un monde idéal…
ça me fait penser a un roman d’asimov. Sauf qu’il y avait un humain caché ^^
Ah, connais pas, c’est quoi le titre ?
La cité des robots. Mais ça fait longtemps que je l’ai lu, alors il n’y a peut-être pas autant de points communs que dans mes souvenirs. ^^
Merci 🙂 J’aime bien la SF, je regarderai et puis je te dirai si ma micro-nouvelle n’était qu’un vulgaire plagiat 😉