Carole sentit les gouttes de transpiration perler sur son front, couler lentement le long de ses tempes,
inonder sa nuque. Elle se crispa. Les murs de l’espace confiné semblaient se resserrer sur elle. Un souffle glacé parcourait sa colonne vertébrale, l’angoisse la prit aux tripes.
Cela n’était pas possible… Elle ne pouvait pas continuer ainsi, à vivre dans la peur et dans l’angoisse. Elle
devait se prendre en main et agir. Elle avança sa main. Dernière feuille. Encore.
Un cri rauque s’échappa de sa poitrine.
Les muscles de ses cuisses se raidirent, elle se releva d’un bond, remonta son pantalon sans s’essuyer et
sortit des toilettes. Oh non, ce n’était pas encore à elle de changer le rouleau de papier toilette…
Dans un monde idéal…
Un brin popoétique !
Excellente soirée .
Un jeu de mot de goût 🙂
Quelle horreur! J’en ai des frissons dans le dos. Je compatis à sa douleur, changer le papier toilette est la chose la plus horrible qui soit; elle a vaillamment combattu la malédiction.
Oh oui, le malédiction du papier toilette est bien pire que la guerre, la famine, la mort et tout ça 😉
On recommence avec un brin de poésie dans ce monde de brutes 🙂
Sacrée malédiction!! lol
La pire qui soit 🙂
Tiens, j’avais pas commé sur cette note pourtant de bon goût, voici qui est réparé :p
Charmante malédiction x)